
Renaissance
"Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu"...
Evangile de Jean 3.3

Les philosophies humanistes
Ces philosophies sont dites "humanistes", car elles se veulent issues de la pensée humaine et donc en rupture avec une quelconque religion, notamment le Catholicisme et même avec Dieu. Néanmoins, si ces philosophies existent c'est grâce à la Parole et l'oeuvre de Jésus Christ ou parce que leurs initiateurs étaient en réaction envers l'oeuvre de Dieu. Pour l'humaniste, la conduite éthique et sociale prévaut à la pratique d'une vie spirituelle. Mais, il est écrit : " Prenez gardes que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s'appuyant sur la tradition des hommes, sur les rudiments du monde et non sur le Christ, car en lui habite corporellement toute la plénitude de la divinité"... Lire Colossiens 2.8-9





La Laïcité et l'humanisme La Théorie de l'évolution Les oeuvres du marxisme La Franc-Maçonnerie

L'humanisme et ses principes moraux
L'humanisme est un courant culturel européen, qui a trouvé ses origines pendant la Renaissance en Italie. Renouant avec la civilisation greco-romaine, les intellectuels de l'époque manifestèrent un vif appétit du savoir. Ils ont considéré que l'homme est en possession de capacités intellectuelles potentiellement illimitées, prônant la vulgarisation de tous les savoirs. L'individu doit être instruit, rester libre et pleinement responsable de ses actes dans la croyance de son choix. Les notions de liberté, de tolérance, d'indépendance, d'ouverture et de curiosité sont indissociables de la théorie humaniste classique. Dès lors, on désigne par "humanisme" toute pensée qui met en premier plan le développement des qualités de l'être humain, qui se porte sur l'éthique affirmant la dignité et la valeur de tous les individus. En mettant l'accent sur les capacités humaines, l'humanisme rejette la validité du surnaturel, de la croyance et des textes présentés comme d'origine divine. L'humanisme est porteur de valeurs morales qui aident les individus à survivre, à prospérer et à faire avancer la civilisation. Des philosophes ont fait valoir que ces principes moraux ont un attrait universel par leur logique et leur efficacité et qu'ils transcendant toutes les cultures. A titre d'exemple : Voler ou ne pas respecter la propriété de l'autre empêchent l'économie de bien fonctionner, mais appauvrit le plus grand nombre - La séparation des églises et de l'Etat garantie la liberté de conscience des hommes - Les guerres de conquêtes perturbent la paix et l'harmonie entre les peuples et sont facteurs de meurtres et de misères - La démocratie consacre la dignité et la valeur intrinsèque de l'individu et lui permet de partager le pouvoir - La lutte contre le racisme permet aux hommes de mieux vivre ensemble, d'accepter les différences et de favoriser l'intégration. Toutes ces valeurs ont été initiées par Jésus Christ et nous voyons jour après jour, qu'elles sont difficiles à mettre en pratique pour l'homme qui n'a pas encore rétablit sa relation avec Dieu.

La laïcité et l'humanisme
La laïcité s'est construite sur les valeurs éthiques de l'humanisme. Mais soulignons ici quatre traits principaux de la laïcité : Premièr trait : La laïcité doit être entendue comme un concept fondateur pour toute société qui entend s'établir et se développer sans faire référence à une transcendance venue d'en haut ou une parole révélée. Partir d'une telle définition, c'est d'emblée reconnaître : Que l'humanité est en train de se faire un ordre spirituel séparable de l'ordre divin et de celui de la grâce. Que cet ordre autonome est celui de la raison, c'est-à -dire qui est à l'oeuvre dans l'homme et qui lui permet de dégager un ordre intelligible et de construire une cité raisonnable sans référence à un ordre divin. Que l'homme est un sujet libre et responsable, capable de penser par lui-même, de contenir ses passions et de tendre vers l'universel. Second trait : Cette laïcité fondatrice prend forme dans la nation quand l'homme est devenu citoyen. Ainsi apparaît le lien fondamental qui l'unit à la République, en tant que système de gouvernement démocratique donnant la parole au peuple souverain, mais aussi en tant que projet ouvrant sur l'universel autour des notions de bien commun, de liberté et de justice. Troisième trait : La laïcité n'est pas un concept figé, une idée fixe. Elle doit accepter d'être de son temps. Nos sociétés évoluent sans cesse et pas seulement par l'emprise de la science, de la technologie et du capitalisme financier, mais aussi parce qu'elles connaîssent de profondes modifications, une diversification des identités culturelles, des opinions et des références morales. Cette évolution suppose plus que jamais l'innovation d'une référence commune qui permette le "vivre ensemble" et l'émergence de valeurs partagées. Quatrième trait : Une laïcité moderne nécessite un travail sur soi. Etre "laïque", c'est savoir allier des convictions personnelles vigoureuses toujours éclairés et une capacité réelle d'écoute, de compréhension de l'autre, de tolérance qui consiste non pas à s'abstenir d'interdire, mais qui réside dans l'acceptation de désaccords irréductibles et raisonnables. La laïcité comme l'humanisme veut prendre forme dans la conscience de l'individu et veut avoir un rayonnement universel dans la recherche de la liberté, de l'égalité et de la fraternité des hommes. En effet, c'est le creuset pour parvenir un jour à une paix universelle, mais sans Dieu et sans sa parole de justice. Les Ecritures prophétisent une paix mondiale initiée par les peuples, qui serait la préfiguration de la fin du monde. Lire 1 Thessaloniciens 5.1-11


La théorie de l'évolution
Charles R.Darwin est un naturaliste anglais dont les travaux sur l'évolution des espèces vivantes ont révolutionné la biologie de son temps. Il a formulé l'hypothèse que toutes les espèces vivantes ont évolué au cours du temps, grâce au processus connu sous le nom de "Sélection naturelle". Darwin a vu de son vivant la théorie de l'évolution acceptée par la communauté scientifique et le grand public. Même si elle constitue aujourd'hui un fondement de la biologie pour beaucoup de personnes, elle est néanmoins décriée et limitée. En effet, des scientifiques éminents considèrent que la sélection naturelle est contraire à la constitution d'une cellule. L'exemple du flagelle bactérien, constitué de plusieurs éléments comme une machine, si un seul élément manque, la cellule ne fonctionne plus. Ils appellent cela la "complexité irréductible" de la cellule. Darwin a dit lui-même : "Si l'on pouvait démontrer qu'un organisme complexe existe, sans être l'aboutissement d'une sucession de nombreuses et infimes modifications, ma théorie s'effondrerait totalement". A l'époque de Darwin la communauté scientifique n'avait pas la connaissance actuelle sur la structure d'une cellule. La théorie de l'évolution évacue Dieu et par là même, elle évacue tout concept de finalité et de sens. Bien que l'oeil a une raison d'être, pour un évolutionniste il n'en a aucune, il est juste là par hasard, et s'il n'y a plus sens à rien, et si rien n'a de sens, alors il n'y a plus de règles, tout est relatif. D'après le Dr W.R. Thompson, le succès du darwinisme a eu comme conséquence le déclin de l'honnêteté scientifique. Pourtant, malgré ses incohérences, ses limites, la théorie de l'évolution reste intouchable, car même si elle est fausse, elle est devenue une doctrine, un dogme pour s'opposer à l'oeuvre de Dieu. Darwin a écrit l'origine des espèces avec comme sous-titre : "La préservation des races favorisées dans la lutte pour la vie". Hitler et Mussolini étaient de fervents évolutionnistes, qui crurent que la domination de certaines races étaient légitimes et que la guerre accélérait le processus d'évolution. Que ce soit le nazisme, le fascisme, le communisme ou l'humanisme séculier, l'évolutionnisme est le tronc commun qui les porte tous. Si l'on veut être objectif et réaliste, il faut distinguer la science de l'histoire. La science est ce que l'homme sait pour l'avoir appris, qui est un ensemble de connaissances objectives et vérifiables. En d'autres termes, elle permet de comprendre le fonctionnement de la vie végétale, animale et humaine, mais elle n'a pas compétence de savoir son origine et encore moins les étapes de son apparition. L'histoire est l'étude des faits et d'évènements passés, qui ont été recueillis par des témoignages verbaux ou écrits par ceux qui ont assisté à ces évènements. Donc, l'histoire est compétente au sujet de l'apparition de la vie, car elle témoigne d'un Dieu qui a créé toutes choses et qu'il a révélé à Moïse. Ce témoignage se trouve écrit dans le premier chapitre de la genèse de la Bible. De plus, l'apôtre Paul exhorte l'homme impartial à éviter les vains discours, les disputes de la fausse science avec ceux qui font profession de se détourner de la foi en Jésus Christ. Lire Evangile de Luc 1.1-4, 1 Timothée 6.20-21

Entretien de Charles R. Darwin avec J.D. Hooker et Charles Lyell sur l'origine des espèces.

C'est une question de foi !
Croire à la création ou croire à l'évolution
Les oeuvres du marxisme

Le marxisme est une philosophie, qui s'est appelée " le matérialisme historique" et qui plus tard a pris le nom de " matérialisme dialectique". Selon le marxisme, il n'y a rien d'autre que des forces matérielles en action, l'homme n'est rien d'autre que la force matérielle qu'il exerce pour transformer la nature par son travail, donc l'homme n'est rien d'autre qu'une force de travail ou de production et il n'y a rien d'autre dans l'homme que le travailleur ou le producteur. L'histoire humaine s'explique toute entière par la succession des régimes du travail ou de la production. Tout régime du travail ou de la production rencontre des forces contraires qui tendent à le détruire, donc l'histoire humaine n'est rien d'autre que la succession des révolutions économiques. Pour Karl Marx et Engels, l'histoire n'est et ne peut être que la détermination d'une action matérielle révolutionnaire à exercer et à réussir et toute la philosophie consiste dans la pratique de cette action, c'est pourquoi Lénine a si bien identifié la philosophie de Marx en disant que " la théorie révolutionnaire n'est pas un dogme, elle ne se forme définitivement qu'en liaison étroite avec la pratique d'un mouvement réellement révolutionnaire". C'est pourquoi Staline définit le léninisme comme la théorie et la tactique de la révolution. Le marxisme n'est pas fondé sur un athéisme doctrinal, c'est à dire sur la négation intellectuelle de Dieu, mais sur un athéisme pratique qui vise à supprimer concrètement Dieu de l'existence humaine en détruisant les conditions économiques qui produisent l'idée de Dieu. Cette pratique de l'athéisme se réalise dans le communisme. Cette philosophie axée sur les forces contraires a engendré dans les sociétés des mouvements révolutionnaires, qui expriment ces contradictions chaque jour disant et faisant le contraire de ce qu'ils disent et font la veille, car c'est une philosophie pour laquelle oui et non n'ont plus de sens, mais le oui se change en non, affirmer se change en nier dans le mouvement de contradiction perpétuelle qui constitue l'histoire. L'action des communistes est déterminée par une seule et unique préoccupation : " L'efficacité matérielle de l'action révolutionnaire à réussir au moment présent". Lénine a dit : "Notre moralité est entièrement subordonnée aux intérêts de la lutte révolutionnaire, pour la réussir tous les moyens sont bons, non seulement violences, massacres, terrorisme,chantage, torture, mais encore mensonges,calomnies, ruse, dissimulation et par conséquent compromissions, concessions, alliances réclamées par l'opportunité du moment présent dans la lutte à réussir. En effet, toute alliance qui sert à réussir est bonne, mais on l'abandonnera conformément à la dialectique dès que la réussite aura été obtenue. Nous restons dans la confusion si nous croyons que le marxisme admettrait la nature humaine demeurant à travers les révolutions économiques alors que pour Karl Marx rien ne dure et ne demeure. Pour lui, il n'y a pas de nature humaine présupposée, mais l'homme se crée lui-même par l'action et à chaque révolution économique, c'est une humanité nouvelle qui se crée en opposition avec les humanités précédentes. Même si d'autres philosophes comme Hegel ou Descartes ont tracé le chemin de l'athéisme, le marxisme lui permet d'atteindre son apogée, car plus rien ne peut être l'oeuvre de Dieu dans ce monde et que l'action matérielle de l'homme doit s'y développer dans une indépendance absolue vis-à -vis de tout ce qui n'est pas sa propre efficacité ou réussite. Si les oeuvres du marxisme ont pu se présenter comme un humanisme absolu, l'histoire humaine montre qu'elles sont destructrices de l'homme. On notera seulement l'atteinte à la liberté de conscience des peuples là où le marxisme, l'athéisme et le communisme ont imprimé leurs empreintes. Le marxisme est une oeuvre du malin, qui est le diable, car elle rend confuse la parole de l'homme, ne distinguant plus le " oui " et le "non". Jésus dit : " Que votre oui soit oui et que votre non soit non, ce qu'on y rajoute vient du malin" . De plus, il maintient les hommes loin de Dieu en affirmant la légitimité d'oeuvres révolutionnaires, étant prêts à utiliser tous les moyens, même inhumains pour réussir dans leur entreprise. C'est pourquoi, rapprochez-vous de Dieu par la foi en Jésus Christ, afin de marcher selon l'Esprit de Dieu et de faire des oeuvres vivantes. Lire Galates 5. 16-26, Ephésiens 5.22-33, Ephésiens 6.1-9, Colossiens 3.1-25, Colossiens 4.1-6
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La Franc - Maçonnerie


Réunion des membres de la Franc- Maçonnerie La devise de la Franc-Maçonnerie
Annuit Coeptis " Elle approuve cette entreprise"
Novus Ordo Seclorum : "Nouvel Ordre des Siècles"
La Franc-Maçonnerie forme un espace de connaissances diverses [philosophiques, ésotériques ], et de sociabilité entre les adeptes, elle recrute par cooptation et pratique des rites initiatiques. Sur le plan historique, elle semble faire son apparition en 1598 en Ecosse, puis en Grande Bretagne au XVIIème siècle. Organisée depuis 1717 à Londres, la Franc-Maçonnerie fait référence aux rites des Anciens Devoirs de la maçonnerie formée par les corporations de bâtisseurs des cathédrales. Elle encourage ses membres à oeuvrer pour le progrès de l'humanité, sa vocation se veut universelle, bien que ses méthodes et ses pratiques soient extrêmement variables selon les pays et les époques. Il est difficile de donner une définition unique de la Franc-Maçonnerie, car elle se compose de plusieurs obédiences. Voici les plus importantes : 1. Le Grand Orient de France : La Franc-Maçonnerie, une institution philanthropique et philosophique a pour objet la recherche de la vérité, l'étude la morale et la pratique de la solidarité. 2. La Grande Loge de France : La Franc-Maçonnerie, un ordre initiatique traditionnel et universel fondé sur la fraternité. 3. La Grande Loge Suisse Alpina : La Franc-Maçonnerie est d'abord une alliance d'hommes libres de toutes confessions et de tous horizons sociaux. 4. La Grande Loge unie d'Angleterre : La Franc-Maçonnerie est l'une des organisations non religieuses, non politiques, fraternelle et charitable les plus anciennes et les plus grandes au monde. 5. La Grande Loge du Quebec : La Franc-Maçonnerie ou l'Ordre des Maçons Anciens, Francs et Acceptés est une société initiatique et philosophique dont les origines se perdent dans la nuit des temps. En fait, la Franc-Maçonnerie constitue une diversité de principes et de finalités dans le monde. A titre d'exemple, l'écrivain Yves Hivert Masseca propose un découpage en cinq grands types de Franc-Maçonneries :
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Une Franc-Maçonnerie "ésotérique" mettant l'accent sur le processus initiatique censé faire passer le membre des ténèbres à une illumination intérieure. On retrouve ce type-là plutôt sur le continent européen
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Une Franc-Maçonnerie " chrétienne" qui se conçoit comme un approfondissement spirituel. C'est le cas du Rite suédois et des obédiences scandinaves ou allemandes qui n'acceptent que des membres chrétiens, le plus souvent protestants.
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Une Franc-maçonnerie " ancien ou anglo-saxon" qui considère que le but de la Franc-Maçonnerie est l'éducation morale et civiques de ses adeptes. Elle s'interdit toute discussion politique ou religieuse. Ce type-là est extrêment majoritaire en Amérique du Nord et dans les pays du Commonwealth.
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Une Franc-maçonnerie " moderne, libérale et symbolique" qui se réclame à la fois d'une tradition et du progrès, d'une forte pratique symbolique et d'une réflexion civique et morale. Elle est surtout présente en Europe continentale et en Amérique latine.
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Une Franc-Maçonnerie " agnostique" qui affirme que les conceptions métaphysiques et religieuses des candidats n'ont pas à être prises en compte pour l'admission, elle travaille principalement à l'instauration d'une société meilleure en autorisant dans les loges les discussions politiques. Le plus souvent mixte, elle est majoritaire en France et très présente dans le reste de l'Europe continentale. Bien qu'il existe un nombre important d'obédiences maçonniques et différentes dans leurs pratiques et leurs conceptions, on peut néanmoins les regrouper en deux branches principales : 1. La branche traditionnelle est la branche la plus répandue dans le monde. La principale caractéristique consiste à ne pas traiter de sujet politique ou religieux, mais plutôt des sujets se rapportant à la construction de la société 2. La branche libérale ou adogmatique n'imposant aucune croyance et acceptant les athées. Elle poursuit la tradition d'ouverture et de tolérance de la Grand Loge d'Angleterre. Les travaux de ces loges sont spirituels, sociaux et même politiques. La Franc- maçonnerie libérale est composée d'obédiences masculines, mixtes et féminines. A quoi sert la Franc-Maçonnerie ? On peut dire qu'elle sert à apprendre. Pour un individu, la Franc-Maçonnerie est une école qui enseigne une manière de comprendre la vie, et surtout de comprendre sa vie. En fait, on est en présence de ce que l'on nomme " le développement personnel ". Les méthodes et les outils que la Franc-Maçonnerie met à la disposition de l'individu lui permettent de grandir, de s'engager dans une sorte de contrat moral avec lui-même. Elle sert à forger des personnalités et à y voir plus clair, c'est une des raisons pour laquelle elle utilise le mot "lumière". La notion du temps est un élément très important dans la vie maçonnique, car il n'est pas compté, seule l'assiduité est demandée. La Franc-maçonnerie offre a chacun le temps nécessaire pour grandir. En Franc-Maçonnerie, l'individu entre dans une communauté, il est accueilli par un groupe principalement composé d'hommes. Ce groupe de personnes est appelé une loge ou bien un atelier. La Franc-Maçonnerie permet de forger des amitiés, de rencontrer des personnes, d'écouter, d'observer et de partager des expériences de vie, d'échanger sur des sujets ayant traits à la société, à l'histoire, à la philosophie, au symbolisme. L'échange sert à élargir son propre champ de vision et son champ de connaissance, mais aussi celui de la Loge. La Franc-Maçonnerie sert à vivre socialement dans la joie et l'harmonie. La Franc-maçonnerie peut être une bonne opportunité pour favoriser la confiance en soi et la socialisation de ses membres et acquérir un réseau de relations dans la société, mais il faut dire que sa connaissance et sa claivoyance se limitent uniquement à l'humain qui se prive de la parole de Dieu et de toutes ses prérogatives. Donc, la lumière de la Franc-Maçonnerie n'apporte une clarté suffisante dont les hommes ont besoin, notamment celle qui donne la connaissance de la transgression envers Dieu, de la justice et du jugement de Dieu. Romains 3.9-18, Galates 5.16-26, Colossiens 3.1-17




Qui est le sage dans ce monde ?
Il est écrit : " Que nul ne s'abuse lui-même, si quelqu'un parmi vous pense être sage selon ce siècle, qu'il devienne fou, afin de devenir sage. Car la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu".... Car le Seigneur connaît les pensées des sages, il sait qu'elles sont vaines.... Lire 1 Corinthiens 3.18-20


